1352 en santé et médecine

Cet article est une ébauche concernant une chronologie ou une date, la médecine et la santé.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Chronologies
Données clés
1349 1350 1351  1352  1353 1354 1355
Décennies :
1320 1330 1340  1350  1360 1370 1380
Siècles :
XIIe XIIIe  XIVe  XVe XVIe
Millénaires :
-Ier Ier  IIe  IIIe
Chronologies thématiques
Religion

(,)

 
Science

() et Santé et médecine

 
  • Terrorisme
Calendriers

modifier Consultez la documentation du modèle

Années de la santé et de la médecine :
1349 - 1350 - 1351 - 1352 - 1353 - 1354 - 1355
Décennies de la santé et de la médecine :
1320 - 1330 - 1340 - 1350 - 1360 - 1370 - 1380

Cet article présente les faits marquants de l'année 1352 en santé et médecine.

Événements

  • Avril : ordonnance du roi Jean II le Bon « portant défense à toutes personnes d'exercer à Paris l'art de la chirurgie sans avoir été examinées[1] ».
  • Décembre : ordonnance de Jean le Bon qui : « à la requête du doyen de la faculté de médecine de Paris, […] défend à toutes personnes d'exercer la médecine à Paris, à moins qu'elles ne soient docteurs ou licenciés[1] ».
  • Fondation par Eudeline, veuve de Jean Boucher, d'un « hôpital pour les pauvres mendiants passant dans la ville de Saint-Denis[2] » au pays de France.
  • Eleanor de Breos fonde à Swansea, dans le comté de Glamorgan au pays de Galles, un hôpital Saint-David qu'elle destine à l'entretien de douze pauvres[3].
  • Une maladrerie est mentionnée à Champeaux, en Brie, établissement qui continue peut-être la léproserie attestée dans ce bourg entre 1201 et 1224, et qui sera réuni à l'hôtel-Dieu en 1695[4],[5].
  • 1352-1353 : fondation par Sofia de Arcangelis au mont Sion de Jérusalem, en Palestine, d'un « hospice pour femmes d'une capacité de cent lits[6],[7] ».

Décès

Références

  1. a et b Eusèbe de Laurière (éd.) et Denis-François Secousse (éd.), Ordonnances des rois de France de la troisième race, vol. 2 : Contenant les ordonnances du roi Philippe de Valois et celles du roi Jean, jusqu'au commencement de l'année 1355 [erreur du site sur le titre du volume (6 juin 2020)], Paris, Imprimerie royale, , 610-CXLVII p. (lire en ligne), p. 496 (avril), p. 609 (décembre).
  2. Michael Wyss et Claude Héron, « Hôpital Saint-Jacques (Saint-Ouen) », 16 janvier 2006, Atlas du patrimoine de la Seine-Saint-Denis, département de la Seine-Saint-Denis [lire en ligne (page consultée le 11 mai 2017)].
  3. (en) The New Swansea Guide, Swansea, H. Griffith, , 180 p. (lire en ligne), p. 15 et 36.
  4. Jean Dufour, Le Chartrier de la collégiale de Saint-Martin de Champeaux, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 94), , 420 p. (ISBN 978-2-600-01348-2, lire en ligne), p. 6, n. 1.
  5. Jean Lebeuf, Histoire du diocèse de Paris : Contenant les paroisses et terres du doyenné de Lagny, vol. 15, Paris, Prault père, (lire en ligne), p. 340.
  6. (en) « Medical Care and Welfare by the Franciscans of the Holy Land », Custodia Terrae Sanctae : Franciscan Missionaries Serving the Holy Land [lire en ligne (page consultée le 4 mai 2017)].
  7. (en) Julia Bolton Holloway (dir.), Constance S. Wright (dir.) et Joan Bechtold (dir.), Equally in God's Image : Women in the Middle Ages, New York, Peter Lang, , 338 p. (lire en ligne), p. 187.
  8. Ernest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 1, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/1), (1re éd. 1936) (ISBN 978-2-600-04664-0, lire en ligne), « Alphonse Dionysii », p. 20.
  9. Florence Hénaut, « Opicinus de Canistris : De la folie à la spiritualité », Circé : Histoire, culture et société, no 3,‎ (lire en ligne).
  • icône décorative Portail de la médecine
  • icône décorative Portail du Moyen Âge tardif