Brains

Page d’aide sur l’homonymie

Pour la brasserie galloise, voir SA Brain & Company.

Brains
Brains
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Brains
Blason de Brains
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Nantes Métropole
Maire
Mandat
Laure Beslier
2020-2026
Code postal 44830
Code commune 44024
Démographie
Gentilé Brennois
Brainnois
Population
municipale
2 811 hab. (2021 en augmentation de 2,55 % par rapport à 2015)
Densité 184 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 10′ 12″ nord, 1° 43′ 14″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 34 m
Superficie 15,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rezé-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Brains
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Brains
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Voir sur la carte topographique de la Loire-Atlantique
Brains
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Brains
Liens
Site web mairie-brains.fr
modifier Consultez la documentation du modèle

Brains [bʁɛ̃] Écouter est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais.

Ses habitants s'appellent les Brennois et les Brennoises, ou les Brainnois et les Brainnoises.

Brains comptait 2 691 habitants au recensement de 2014.

Géographie

Situation

Brains est situé entre la Loire et le lac de Grand-Lieu, à 18 km au sud-ouest de Nantes et 4 km au nord-ouest de Bouaye. Les communes limitrophes sont Le Pellerin, Cheix-en-Retz, Port-Saint-Père, Saint-Léger-les-Vignes, Bouaye, Bouguenais, La Montagne et Saint-Jean-de-Boiseau.

La commune est bordée dans sa partie sud ouest par l'Acheneau.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Situation de la commune de Brains dans le département de la Loire-Atlantique

Transports

Brains est desservie par la ligne 98 du réseau TAN[1].

Climat

Pour des articles plus généraux, voir Climat des Pays de la Loire et Climat de la Loire-Atlantique.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 800 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 819,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

Typologie

Brains est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,9 %), prairies (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (27,6 %), zones urbanisées (4,6 %), cultures permanentes (2,1 %), forêts (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Le nom de la localité est attesté sous les formes de Brenno en 1179, Bren au XIIe siècle, Brent en 1287[14].

Il est traduit Brenn en breton, sans que cette dénomination ait une valeur historique[14].

Brains possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Brâin et Brein selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [brœ̃ː] ou [brɛ̃ː][15].

Histoire

La plus grande partie du territoire communal, couvert par une vaste forêt, appartient, sous l'Ancien Régime, aux ducs de Bretagne [référence nécessaire]. Des démembrements successifs donneront naissance à des seigneuries plus ou moins puissantes : Jasson, Le Plessis, Le Pesle, Lorière, La Sauvagerie, La Pilaudière et la Guerche. La seigneurie du Pesle, la plus importante, était à l'origine une juveignerie de Briord. Devenue aujourd'hui une demeure privée, elle domine l'Acheneau à la Cour du Pesle.

Le château du Plessis fut la propriété de Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière, lieutenant de Charette pendant les guerres de Vendée 1793-1796.

Le château de la Guerche dépendait du Pesle jusqu'au XVIe siècle. Jules Verne y était accueilli par son oncle Prudent Allotte de la Fuÿe, propriétaire de 1828 à 1837, pendant les vacances d'été. Il s'y exerçait à des vers impromptus.

L'église fut construite vers 1875 sur l'emplacement de l'ancienne qui datait de 1676. Le clocher, haut de 50 mètres, date de 1901.

Le presbytère vendu comme bien national sous la Révolution abrite aujourd'hui « l'espace des Clos Mâts », lieu culturel avec la bibliothèque et la Musique.

À la fin du XIXe siècle, on dénombrait six moulins à vent. Seuls subsistent les moulins des Charbonnières, du Breuil, de la Fouelle et de la Roche du Gré.

Le cadastre napoléonien révèle un territoire rural ponctué de villages encore parfaitement lisibles aujourd'hui.

Le Port Hamoneau, témoin du rôle économique de l'Acheneau jusqu'en 1914 pour l'acheminement du vin et du sable rouge vers Nantes, accueille aujourd'hui les promeneurs et les pêcheurs venus goûter le calme et la quiétude des marais environnants, à l'ombre des peupliers[16].

Politique et administration

L'article histoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination des maires de la commune.
Liste des maires successifs[17]
Période Identité Étiquette Qualité
Liste des maires avant 1947
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Charles Charpentier    
novembre 1791 1796 Mathurin Garnier    
1796 1797 Honoré Séguineau   Agent municipal (municipalité de canton)
1797 1798 Mathurin Debec   Agent municipal (municipalité de canton)
1798 1798 Pierre Prin   Agent municipal (municipalité de canton)
1798 1800 Charles Forget   Agent municipal (municipalité de canton)
1800 1800 Julien Prin   Maire provisoire
1800 août 1803
(décès)
Jean Trouillard (1751-1803)   Laboureur à Bel Air
août 1803 avril 1815
(démission)
Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière   Conseiller général de Bouaye (1806 → )
avril 1815 juin 1815
(décès)
Pierre Prin   Cultivateur au Barré
juin 1815 juillet 1815 Clair Prin    
juillet 1815 novembre 1828
(décès)
Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière   Député de la Loire-Inférieure (1827 → 1828)
1829 septembre 1837
(démission)
Prudent Allotte de la Fuÿe (1766-1860)   Ancien négociant à Nantes
Propriétaire de la Guerche et de la Grillonnerie
septembre 1837 mai 1848 Alexandre Porteau   Propriétaire de la Cour du Pesle
mai 1848 avril 1849
(démission)
Félix Lafont   Propriétaire de la Sauvagerie
avril 1849 juin 1851 Julien Rialland   Marchand de vins
juin 1851 février 1863
(démission)
Félix Lafont   Propriétaire de la Sauvagerie
mars 1863 septembre 1870 François Delétang   Notaire, propriétaire
Maire du Pellerin (1840 → 1847)
septembre 1870 octobre 1870 Jean Grollier    
octobre 1870 mai 1892 Jean Bertreux (1832-1900)   Arpenteur
mai 1892 mai 1896 Jean-Marie Prin (1846-1914)   Cultivateur
mai 1896 1899 Pierre Prin   Charpentier
mars 1899 octobre 1902
(décès)
Julien Prin[Note 3]   Marchand d'engrais
novembre 1902 août 1904
(décès)
Jean Hervé[Note 4] (1852-1904)    
novembre 1904 mai 1925 Jean Berthomé[Note 5] (1852-1933)   Cultivateur
mai 1925 mai 1929 Julien Hérêt (1865-1939)   Cultivateur au Plessis
mai 1929 octobre 1947 François Bouquet[Note 6] (1892-1965)   Marchand d'engrais
Source : Geneawiki
 
octobre 1947 février 1968
(démission)
Yves Boquien[Note 7]   Médecin, professeur de chirurgie médicale
Doyen de la faculté mixte de médecine et de pharmacie
février 1968 mars 1977 François Charpentier[Note 8]   Exploitant agricole à La Roberie
Premier adjoint au maire (1965 → 1968)
mars 1977 mars 1983 Joseph Albert (1917-2009) PS[18]  
mars 1983 mars 2014 Jean-Pierre Legendre[Note 9] DVG[19] Technicien supérieur aux Ponts et chaussées
Maire honoraire[20] (2014)
mars 2014 En cours Laure Beslier[Note 10] DVG[19] Chargée bancaire
Adjointe au maire ( → 2014)

Population et société

Démographie

Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit être actualisée.
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.
Raison : Données obsolètes, zonage de 2010.

Selon le classement établi par l'Insee, Brains fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Nantes. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[21]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 98 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 2 % dans des zones « très peu denses »[22].

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 2 811 habitants[Note 11], en augmentation de 2,55 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0966499098931 0191 0281 0601 1161 124
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0841 1701 1501 1241 1791 1381 1771 1591 165
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1501 2191 1461 1031 1111 0471 0351 0411 078
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
9991 0211 1741 5781 8892 1722 4792 5232 587
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2017 2021 - - - - - - -
2 8402 811-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,7 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 416 hommes pour 1 420 femmes, soit un taux de 50,07 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,5 
2,9 
75-89 ans
4,8 
14,2 
60-74 ans
14,6 
24,0 
45-59 ans
23,3 
19,2 
30-44 ans
21,8 
15,6 
15-29 ans
15,4 
23,8 
0-14 ans
19,5 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,5 
15 
60-74 ans
16,3 
19,5 
45-59 ans
18,9 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,5 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Patrimoine et culture

Lieux et monuments

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption fut construite en 1875 afin de remplacer un ancien sanctuaire fondé en 1676 grâce aux dons d'une châtelaine, Madame du Plessis des Presles. Seul le clocher, haut de 50 mètres, ne fut rajouté que quelques décennies plus tard en 1901, faute d'argent[29].

Héraldique

Blason Blasonnement :
D'or à l'aigle essorante de sable, la tête senestrée, soutenue d'une divise ondée d'azur en pointe.
Commentaires : Le sceau communal en usage depuis 1863 (second Empire) ne fut pas restitué à l'État et servit pour officialiser de faux documents durant l'Occupation, imprimés par la Résistance pour imiter des documents allemands. C'est pour cela que l'aigle doit être dessiné tel quel. La divise ondée évoque la rivière l'Acheneau. Les couleurs or et sable évoquent aussi le blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de Brains au pays de Retz. Blason conçu par l'héraldiste Michel Pressensé (délibération municipale du ), enregistré le .

Personnalités liées à la commune

  • Jules Verne passa des vacances à « La Guerche », la propriété de son oncle Prudent Allotte de la Fuÿe. Ce dernier, un ancien armateur célibataire ayant fait le tour du monde, était revenu s'installer au pays natal en 1827/1828. Il fut élu maire de Brains de 1828 à 1837[30].

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Brains, sur Wikimedia Commons
  • Brains, sur le Wiktionnaire

Articles connexes

Liens externes

  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • BnF (données)
  • Ressources relatives à la géographieVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Insee (communes)
    • Ldh/EHESS/Cassini
  • Ressource relative à plusieurs domainesVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Annuaire du service public français
  • Site de la mairie
  • Brains sur le site de l'Insee

Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Réélu en 1900.
  4. Réélu en 1904.
  5. Réélu en 1908, 1912 et 1919.
  6. Réélu en 1935.
  7. Réélu en 1953, 1959 et 1965.
  8. Réélu en 1971.
  9. Réélu en 1989, 1995, 2001 et 2008.
  10. Réélue en 2020. [1]
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. Carte interactive du réseau TAN
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Brains et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  15. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
  16. Source Y. Lostanlen.
  17. [PDF] Yves Lostanlen, « Les maires de Brains de 1800 à 1940 », Un Brains d'histoire, 2012 (lire en ligne).
  18. [PDF] [2]
  19. a et b « À 5 mois des élections, le panorama des prétendants », Ouest-France,‎ (lire en ligne Accès payant).
  20. « Jean-Pierre Legendre devient maire honoraire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  21. « Commune de Brains (44024) », Insee (consulté le ).
  22. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Brains (44024) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  29. « Le site des clochers de la France :: Brains (44830) », sur lafrancedesclochers.clicforum.com (consulté le ).
  30. Cécile Compère, « Les vacances », dans Revue Jules Verne, 4 (1997), p. 35.
  • icône décorative Portail de la Loire-Atlantique
  • icône décorative Portail des communes de France