Joseph Georges Antoine Masnou

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 Joseph Georges Antoine Masnou
Joseph Georges Antoine Masnou
Général Masnou en 1910 aux côtés de Lyautey

Naissance
Saintes (France)
Décès (à 59 ans)
au large de Malte
Mort au combat
Origine Drapeau de la France Français
Allégeance Drapeau de la France France
Arme Infanterie
Unité Corps Expéditionnaire d'Orient
Grade Général de division
Années de service 1874 – 1915
Commandement 70e Régiment d'Infanterie
23e Division d'Infanterie
1re division d'infanterie du corps expéditionnaire d'Orient
Conflits Première Guerre mondiale
Faits d'armes Première bataille de la Marne
Bataille des Dardanelles
Distinctions Commandeur de la Légion d'honneur Commandeur de la Légion d'honneur
Croix de guerre 1914-1918, palme de bronze Croix de guerre 1914-1918, palme de bronze
Médaille Coloniale
Nichan Iftikhar
Commandeur Ordre de Dannebrog
Famille Famille Masnou

fils François Masnou et père Joseph Auguste Jean Masnou

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Joseph Georges Antoine Masnou, né le à Saintes pendant le Second Empire et mort le au large de Malte, est l'un des quarante-deux généraux français qui ont perdu la vie lors de la Première Guerre mondiale.

Biographie

Saint-Cyrien de la Grande Promotion (1874-1876), il fait l'École supérieure de Guerre de 1893 à 1895. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, il est placé à la tête de la 45e brigade d'infanterie, puis dès le , à la tête de la 23e division d'infanterie et prend part à la Première bataille de la Marne. Il est général de division commandant la 1re division d'infanterie du corps expéditionnaire d'Orient, lorsqu'il est blessé le lors de la bataille des Dardanelles. Il décède le au large de Malte à bord du cuirassé Bretagne.

Postérité

Son nom est inscrit au monument des Généraux morts au Champ d'Honneur 1914-1918 de l'église Saint-Louis à l'Hôtel des Invalides de Paris[1].

Décorations

Voir aussi

Notes et références

  • « Cote LH/1775/27 », base Léonore, ministère français de la Culture
  • Sa fiche militaire : Site Mémoire des hommes
  1. « Relevé du mémorial des généraux 1914-1918, Hôtel des Invalides. »
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