Liste de personnalités italiennes en France

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Catherine de Médicis (1519-1589).
Article principal : Immigration italienne en France.

Cet article liste des personnalités italiennes qui se sont illustrées en France au cours de l'histoire, par ordre chronologique.

Dès avant les grandes vagues migratoires des XIXe et XXe siècles, des personnalités originaires des régions qui ne constitueront que plus tard l'unité italienne ont traversé les Alpes ou la Méditerranée, appelées par les princes ou parties chercher fortune, quittant la péninsule pour s'installer en France et participer à son rayonnement dans le domaine des arts, de la finance, de la politique, des armes ou de la religion[1].

Moyen Âge et Renaissance

La fontaine de Vaucluse chère à Pétrarque (1304-1374).
Christine de Pisan (1364-v. 1430)
L'escalier à vis du chateau de Chambord attribué à Léonard de Vinci (1452-1519)
La fameuse salière réalisée pour François Ier par Benvenuto Cellini (1500-1571).
Le chariot du Ballet comique de la reine de Baldassare da Belgioioso (v. 1535-1587).
Isabella Andreini (1562-1604).
Illustration du Cantus circaeus, l'un des ouvrages écrits à Paris par Giordano Bruno (1548-1600).

XVIIe et XVIIIe siècles

Le cardinal Mazarin (1602-1661)
Salle méridienne de l'Observatoire de Paris dirigé par la dynastie d'astronomes fondée par Jean-Dominique Cassini (1625-1712).
« Marche pour la cérémonie des Turcs »
Musique de Jean-Baptiste Lully (1632-1687) pour la scène finale du Bourgeois gentilhomme, comédie-ballet de Molière.
Le Mezzetin d'Angelo Costantini (1655-1730), par Antoine Watteau
Les feux d'artifice royaux, spécialité des frères Ruggieri arrivés de Bologne en 1730
  • Marie-Félicie des Ursins (1600-1666), (Maria Felice Orsini en italien), née au Palais Pitti à Florence. Petite-fille de Cosme de Médicis, elle devient duchesse de Montmorency en épousant Henri II de Montmorency, gouverneur du Languedoc, et vit au château de Chantilly. Après l'exécution de son mari en 1632 elle se retire au couvent de la Visitation à Moulins où elle meurt.
  • Jules Mazarin (1602-1661), (Giulio Mazarini ou Mazzarini en italien), diplomate et homme politique né à Pescina (Abruzzes) dans une famille modeste d'origine génoise. D'abord au service de la Papauté, il est vice-légat d'Avignon en 1634, puis nonce à Paris de 1634 en 1636. En 1639 il est naturalisé français et reçoit le chapeau de cardinal en 1640. Il succède à Richelieu en tant que principal ministre de 1643 à 1661. Il épaula les rois Louis XIII et Louis XIV dans l'administration du royaume de France.
  • Giacomo Torelli (1608-1678), peintre, scénographe et ingénieur né à Fano dans les Marches. En 1641, il est ingénieur militaire à Venise où il construit deux églises et le Novissimo teatro aménagé avec une scène tournante et un système de changement de décors. Mazarin l'introduit en France vers 1645 pour la représentation de La finta pazza. Il équipe le théâtre du Petit-Bourbon à Paris avec des mécanismes efficaces pour des changements rapides ce qui favorise le développement des effets de scène élaborés. Il triomphe en 1650 avec la production de l'Andromède de Pierre Corneille. Ses inventions lui valent le titre de il stregone gran (« le grand sorcier »). Il retourne en 1662 dans sa ville natale où il meurt.
  • Tiberio Fiorilli (1608-1694), acteur de la commedia dell’arte né à Naples, créateur du personnage de Scaramouche, directeur de la troupe des Comédiens-Italiens. Son père, décoré du titre de capitaine de chevaux, avait dû fuir Capoue après un meurtre et il passe lui-même quelques jours aux galères à la suite de diverses escroqueries avant de monter sur des tréteaux avec un certain succès. Il voyage de Civitavecchia à Bologne, de Florence à Livourne, risque la pendaison, épouse une actrice de sa compagnie, quitte l'Italie vers 1640 et arrive à Paris sous le règne de Louis XIII. Son jeu plaît à la reine et il devient, dans le costume de Scaramouche, le plus grand amusement de Louis XIV enfant. Le roi le protège jusqu'à la fin de sa vie. Il partage avec Molière dont il est l’ami le théâtre du Petit-Bourbon, et le théâtre du Palais-Royal. Molière admiratif l'étudie avec soin pour ses rôles de farces. Célèbre dans toute l'Europe, il joue la comédie jusqu'à l'âge de quatre-vingt-trois ans. Il a pour biographe et ami Angelo Constantini autre acteur de la Comédie-Italienne.
  • Jean-Dominique Cassini (1625-1712), (Giovanni Domenico Cassini en italien), astronome et ingénieur né à Perinaldo, alors dans le Comté de Nice appartenant au Duché de Savoie, aujourd'hui en Ligurie. Il travaille à l'Observatoire de Panzano à Castelfranco Emilia et enseigne à l'Université de Bologne. Le sénat et le pape le chargent de plusieurs missions scientifiques et politiques. Attiré en France par Colbert en 1669, il est reçu membre de l'Académie des sciences. Il dirige, à la demande de Louis XIV, l'Observatoire de Paris à partir de 1671. Naturalisé en 1673, il épouse Geneviève Delaistre, fille du lieutenant général de Clermont en Beauvaisis. Père de Jacques Cassini, grand-père de César-François Cassini et arrière-grand-père de Jean-Dominique, comte de Cassini, il est le premier d'une dynastie d'astronomes et cartographes français.
  • Jean-Baptiste Lully (1632-1687) (Giovanni Battista Lulli en italien), musicien, danseur, chorégraphe, compositeur, surintendant de la musique de Louis XIV né à Florence. Fils du meunier Lorenzo di Maldo Lulli et de Catarina del Sera, elle-même fille de meunier, il est remarqué vers 1645 par Roger de Lorraine. Arrivé en France l'année suivante, il apprend le violon, le clavecin, la théorie et la composition musicale avec Nicolas Metru et se montre excellent danseur. Il entre au service de la duchesse de Montpensier pour laquelle il crée la « Compagnie des violons de Mademoiselle ». En 1652, Louis XIV l'engage dans la Grande Bande des Violons du Roi. Il obtient rapidement la direction d'un nouvel ensemble : la Bande des Petits Violons. Parfait courtisan, homme d'affaires habile et appuyé par Louis XIV, il devient compositeur de la chambre, puis surintendant de la musique royale. Naturalisé français en 1661, il épouse Madeleine Lambert, dont le père, Michel Lambert, dirige la musique chez la duchesse de Montpensier. Ils ont six enfants, dont trois fils musiciens à leur tour (Louis, Jean-Baptiste II et Jean-Louis) et trois filles dont l'aînée, Catherine-Madeleine, épousera Jean-Nicolas de Francine, successeur de Lully à la tête de l'Académie royale de musique. À partir de 1664, Lully travaille régulièrement avec Molière mais en 1671 les deux hommes deviennent ennemis. En 1672, Lully achète le privilège de l'Académie royale de musique. Comblé d'honneurs et de richesses il éclipse, par la faveur dont il jouit auprès du roi, tous les compositeurs dramatiques de son époque. En 1681, Lully atteint l'apogée de sa carrière en devenant secrétaire du roi. Il meurt à Paris.
  • Michelangelo Fracanzani (1632-???), acteur de la commedia dell'arte né à Naples. Il se rend en France en 1685 avec sa femme et son fils Antonio et est engagé à la Comédie-Italienne.Le Pulcinella napolitain devient avec Fracanzani le Polichinelle français que découvre la cour réunie à Fontainebleau, « bossu par devant et par derrière ». Fracanzani est naturalisé français avec toute sa famille en 1688. Il joue dans la troupe de la Comédie-Italienne jusqu'à la fermeture du théâtre de l'Hôtel de Bourgogne ordonnée par Louis XIV en 1697.
  • Domenico Giuseppe Biancolelli (1636-1688), dit Dominique, acteur né à Bologne. Fils de Francesco Biancolelli et d'Isabella Franchini (titulaire du rôle de Colombina), il est initié au rôle du second Zanni par son parrain Carlo Cantù (célèbre sous le nom de Buffetto). Il vient à Paris en 1662 au retour de la troupe de Scaramouche dont il devient l'une des vedettes et l'Arlequin le plus célèbre de toute la période française de la commedia dell'arte. La Comédie-Italienne commence à jouer en français sous sa direction. Il épouse en 1663 Orsola Cortesi et tous deux sont naturalisés français en 1680. Leur fils, Pierre-François Biancolelli, débute dans la troupe avec le rôle du Pierrot.
  • Francesco Procopio dei Coltelli (1651-1727), né Procopio Cutò à Palerme. Cuisinier considéré comme le père de la crème glacée et fondateur du café Procope de Paris. Son nom sicilien, Procopio Cutò, devenu en Français, du fait d'une mauvaise compréhension, Procope-des-Couteaux, fut retraduit en italien par Procopio dei Coltelli (traduction de « couteaux »). Lors de sa période d'activité à Aci Trezza, il aurait, grâce au commerce de la neige de l'Etna, imaginé le gelato. Il arrive en 1670 à Paris où il travaille comme garçon chez un cafetier à la foire Saint-Germain et donne son nom au plus ancien café de Paris, qu'il rachète en 1686, le Café Procope. Très en vogue durant les XVIIIe et XIXe siècles, le café Procope est fréquenté par des personnalités de la politique et de la culture telles que Robespierre, Danton, Marat, Voltaire, Balzac ou Hugo. Il a treize enfants avec ses trois épouses successives.
  • Angelo Costantini (1655-1730), acteur né à Vérone. Engagé dans l’ancienne troupe italienne de Paris, pour doubler le fameux Dominique qui s’était acquis une si grande popularité dans le rôle d’Arlequin, il imagine, pour échapper à une comparaison accablante, de renouveler l’emploi en faisant un Arlequin moitié aventurier, moitié valet, qu’il appelle Mezzetin, pour exprimer ce mélange. Le personnage et l’acteur connaissent une grande vogue à Paris jusqu’à la suppression de la Comédie italienne en 1697. Il a servi de modèle à Molière pour le Scapin des Fourberies.
  • Luigi Riccoboni (1676-1753), acteur né à Modène connu au théâtre sous le nom de Lélio, par lequel on désignait l’emploi des amoureux. Il vient à Paris avec le fameux Dominique, où il partage ses succès. Il devient directeur de la Comédie-Italienne, qui obtient un rapide succès et où il joue plusieurs pièces composées dans sa jeunesse et dont le recueil paraît sous le titre de Nouveau Théâtre italien. Renonçant à l’art dramatique, il publie de nombreux ouvrages sur le théâtre. Il a de sa femme Elena Balletti, également actrice et femmes de lettres, l’acteur Antoine-François Riccoboni.
  • les frères Ruggieri, artificiers, quittent Bologne pour Paris en 1730. Les cinq frères Antonio, Francesco, Gaetano, Petronio et Pietro, formés à l'art pyrotechnique dans leur pays, donnent un spectacle éblouissant à Versailles à l'occasion du mariage de Madame avec l'infant Philippe d'Espagne en . Louis XV les charge ensuite d'organiser les divertissements destinés à son « bon peuple ». La direction de l'entreprise est assurée par l'aîné, Petronio, qui se voit accorder par le roi des lettres de grande naturalisation et le titre de gentilhomme de la Chambre. Les deux fils de Petronio (mort en 1794), Michel (mort en 1849) et Claude (mort en 1841) sont les artificiers de Napoléon Ier et de Louis XVIII. Le fils de Claude, Désiré-Eugène (1817-1885) reprend l’entreprise familiale et devient l'artificier et le protégé de Napoléon III. Grand bibliophile, il fut l’élève d'Ingres.
  • Jean-Paul Marat (1743-1793), écrivain, politique, né à Boudry (Neuchâtel, Suisse) d'un père sarde et d'une mère rouergate.
  • Ennius Quirinus Visconti (1751, Rome - 1818, Paris), fils d'un archéologue de renom et archéologue lui-même. Ministre de la République romaine en 1798, il est le premier conservateur des antiques et tableaux du Musée du Louvre, en 1803. Par ordonnance du roi, il lui est accordé des lettres de déclaration de « naturalité » (le ). De son union avec Angela Theresa Doria naissent quatre enfants dont Louis, célèbre architecte.

XIXe et XXe siècles

La lutte contre l'occupant autrichien et la préparation de l'unité italienne amènent les révolutionnaires à se réfugier ou à se rassembler en France en ce début de siècle. La transition démographique provoquée par l'industrialisation du pays unifié a ensuite été la source de plusieurs flux migratoires dès les années 1880. Le destin de millions d'immigrés se réalise notamment en France et le nom d'un grand nombre de personnalités qui ont contribué à l'éclat du pays dans le domaine des arts, des lettres ou des spectacles, des sciences ou de l'industrie, du sport ou de la politique reste dans les mémoires[1].

Ce paragraphe regroupe des Italiens et des Français d'ascendance italienne.

  • Amedeo Modigliani (1884-1920), peintre.
  • Rose Repetto (1900-1982), danseuse, styliste, d'origine italienne.
  • Fernandel (1903-1971), acteur, né de famille piémontaise (Meano, Pérouse) émigrée à Marseille.
  • Léon Gambetta (1838-1882), homme politique. Son grand-père était né en Ligurie.
  • Émile Zola (1840-1902), écrivain et journaliste. Son père était né à Venise.
  • Ettore Bugatti (1881-1947), constructeur des automobiles Bugatti, né à Milan.
  • Paul Belmondo (1898-1982), sculpteur, père de l'acteur Jean-Paul Belmondo, né en 1933. Le père de Paul, donc le grand-père de Jean-Paul, était né à Borgo San Dalmazzo dans le Piémont et sa mère à Cefalù en Sicile.

1900

  • Lino Ventura (1919-1987), acteur, né à Parme.
  • Yves Montand (1921-1991), pseudonyme de Ivo Livi, chanteur et acteur, né à Monsummano Terme en Toscane
  • Pierre Cardin (1922-2020), couturier, né Pietro Costante à Sant'Andrea di Barbarana en Vénétie.
  • Serge Reggiani (1922-2004), chanteur et acteur, né à Reggio d'Emilie.
  • François Cavanna (1923-2014), journaliste et dessinateur humoristique. Son père était né à Bettola, dans la province de Plaisance
  • Michel Piccoli (1925-2020), acteur. Malgré son nom, ses origines, dans le Tessin, sont assez lointaines.
  • Francesco Smalto (1927-2015), couturier italo-français.
  • Marcel Azzola (1927-2019), musicien, de famille de Pradalunga (Bergame).
  • Albert Uderzo (1927-2020), dessinateur et scénariste de bandes dessinées. Bien que né en France dans la Marne, d'une famille d'immigrés italiens, il ne sera naturalisé français qu'en 1934.
  • Robert Enrico (1931-2001), scénariste, réalisateur, de famille émigrée italienne à Toulon.
  • Max Gallo (1932-2017), écrivain, politique, né à Nice de famille immigrée (Piémont, Parme).
  • Marc Fumaroli (1932-2020), universitaire, linguiste, de famille italienne émigrée à Fès.
  • Dalida (1933-1987), pseudonyme de Iolanda Gigliotti, chanteuse et actrice, née au Caire. Ses deux parents étaient nés à Serrastretta en Calabre.
  • Jean-Paul Belmondo (1935), acteur, né à Neuilly-sur-Seine. Son père était d'origine piémontaise et sicilienne.
  • Nino Ferrer (1934-1998), pseudonyme de Nino Ferrari, chanteur, auteur et compositeur, né à Gênes.
  • Aldo Maccione (1935-), acteur et chanteur italien, né à Turin.
  • Salvatore Adamo (1943-), chanteur-auteur-compositeur italo-belge francophone.
  • Coluche (1944-1986), pseudonyme de Michel Colucci, humoriste et comédien. Son père était né dans la région du Latium.
  • Vic Laurens (1945), chanteur (groupe rock Les Vautours), musicien, auteur, compositeur, ses parents sont nés à Palerme.

1950

  • Frédéric François (1950-), né Francesco Barracato en Sicile, chanteur-auteur-compositeur italo-belge francophone.
  • Fabrice Luchini, né Robert Luchini en 1951, acteur. Son grand-père était né à Assise en Ombrie.
  • Michel Platini, né en 1955, footballeur, puis entraineur et dirigeant. Ex-président de l'UEFA. Son grand-père était né à Novare, dans le Piémont.
  • Christian Estrosi (1955-), sportif motocycliste, homme politique, né à Nice de famille émigrée d'Ombrie.
  • Jo Prestia (1960-), kick-boxer, boxeur thaï et acteur, né à Porto Empedocle (Sicile , Italie ).
  • Tonino Benacquista (1961-), réalisateur et écrivain, de famille originaire de Broccostella (Latium).
  • Nadine Morano (1963-), politique, de père d'origine italienne.
  • Valeria Bruni Tedeschi (1964-), actrice, scénariste, réalisatrice, italo-française, de famille d'origine turinoise.
  • Éric Ciotti (1985-), politique, de famille d'origine italo-française (Trévise) française depuis 1860.
  • Monica Bellucci (1964-), actrice et mannequin italienne née à Città di Castello (Ombrie, Italie).
  • Bruno Putzulu (1967-), acteur, chanteur, de père d'origine sarde.
  • Carla Bruni (1967-), mannequin, chanteuse, de famille industrielle turinoise.
  • Akhenaton (rappeur) (1968-).
  • Aurélie Filippetti (1973-), politique, romancière, fille de parents immigrés italiens fuyant le fascisme des années 1920.


Notes et références

  1. a et b Milza 1993

Voir aussi

Bibliographie

  • Pierre Milza, Voyage en Ritalie, Paris, Éditions Payot & Rivages, , 638 p. (ISBN 2-228-89850-3), 1re éd. Paris, Éditions Plon, 1993, 532 p. (ISBN 2-259-02512-9).
  • Pierre Milza et Marianne Amar L'Immigration en France au XXe siècle, Paris, A.Colin, 1990.
  • Jean-Charles Vegliante, 'Gli italiani all'estero', série (1 : Dati introduttivi 1861-1981, Paris, PSN 1986 ; 2 Passage des Italiens ; 3 Luigi Campolonghi, une vie d'exil [co-éd. CEDEI] ; etc.) ; Que reste-t-il de tout cela [avec I. Felici], 2016.
  • La Trace, Cahiers du Centre d'études et de documentation sur l'émigration italienne, Paris, CEDEI, (ISSN 0997-0843).
  • M.C. Blanc Chaléard, A. Becchelloni, Les Italiens en France depuis 1945, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2003, (ISBN 2-86847-757-7).
  • L'Immigration italienne en France dans les années 20, Paris, CEDEI, 1988.
  • François Cavanna, Les Ritals, Paris, Belfond, 1978, 277 p. (ISBN 2-7144-1168-1).
  • Stefano Palombari - L'Italie à Paris, Paris, Parigramme, 2003, (ISBN 2-84096-274-8).
  • Michele Canonica et Florence Vidal, Italiens à Paris et en Île-de-France, Paris, Association L'Italie en direct-L'Italia in diretta, 2001.
  • Jean-Luc Huart, Les Italiens, histoire d'une communauté en Rhône-Alpes, Veurey, éditions Le Dauphiné libéré, 2012, (ISBN 978-2-8110-0022-6).
  • Radici-Racines, Mémoires d'émigration. Au cœur des racines et des hommes, Toulouse, Editalie éditions.
  • Isabelle Felici, Sur Brassens et autres « enfants » d'Italiens, Montpellier, Presses universitaires de la Méditerranée, 2017, (ISBN 978-2-36781-237-3)
  • Judith Rainhorn, Petites Italies dans l'Europe du Nord-Ouest : appartenances territoriales et identités collectives à l'ère de la migration italienne de masse milieu XIXe siècle - fin XXe siècle, Presses universitaires de Valenciennes, 2005

Articles connexes

Liens externes

  • Les sportifs français d'origine italienne au sommaire du numéro no 69, juillet 2012, de la revue bimestrielle La Voce.
  • Associazione Parlamentari di origine italiana nel mondo : voir ce document p.207 pour les parlementaires d'origine italienne en France.
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