Tōkō Kon
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/23/Kon_Toukou.jpg/260px-Kon_Toukou.jpg)
Membre de la Chambre des conseillers |
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Naissance | ou ![]() Yokohama ![]() |
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Décès | ![]() |
Nom dans la langue maternelle | 今東光 ![]() |
Nationalité | japonaise ![]() |
Formation | Lycée Toyo'oka (d) ![]() |
Activités | Homme politique, romancier, écrivain ![]() |
Parti politique | Parti libéral-démocrate ![]() |
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Tōkō Kon (j今 東光, Kon Tōkō?) ; à Yokohama - , est un politicien et écrivain japonais.
Biographie
Frère ainé de l'écrivain Hidemi Kon, il appartient d'abord au mouvement de la littérature prolétarienne avant de se faire moine bouddhique en 1930[1]. Cette rupture biographique se reflète dans le roman Ogin-sama (お吟さま; 1956) pour lequel il est lauréat du prix Naoki cette même année[1]. Shundei Nishō (春泥尼抄; 1957) et Akumyō (悪名; 1961) sont d'autres titres importants. Nombre de ses romans sont adaptés au cinéma. Il est élu en 1968 à la Chambre des conseillers (Sangi'in), chambre haute du parlement japonais, sous les couleurs du parti libéral-démocrate, élection à l'issue de laquelle il reçoit plus d'un million de voix à l'échelle nationale et termine 4e[2],[1].
Adaptations au cinéma
- 1958 : Désirs volés (盗まれた欲情, Nusumareta yokujō?) de Shōhei Imamura
- 1962 : Mademoiselle Ogin (お吟さま, Ogin-sama?) de Kinuyo Tanaka
- 1978 : Mademoiselle Ogin (お吟さま, Ogin-sama?) de Kei Kumai
Notes et références
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Kon Tōkō » (voir la liste des auteurs).
Liens externes
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