Combat de Dialloubé

Combat de Dialloubé

Informations générales
Date
Lieu Dialloubé
Issue Victoire franco-malienne
Belligérants
Drapeau du Mali Mali
Drapeau de la France France
Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans
Forces en présence
Drapeau du Mali
Inconnues
1 hélicoptère[1]

Drapeau de la France
2 avions Mirage 2000[1]
1 drone MQ-9 Reaper[1]

Inconnues
Pertes
Drapeau du Mali
Aucune

Drapeau de la France
Aucune

~ 15 à 20 morts ou prisonniers[1],[2]

Guerre du Mali

Batailles

Batailles de la guerre du Mali
Rébellion touarègue de 2012
  • Ménaka (1re)
  • Tessalit
  • Aguel'hoc (1re)
  • In Emsal
  • Andéramboukane (1re)
  • Niafunké
  • Tin Zaouatine
  • Tinsalane
  • Goumakoura (1re)
  • Tessit (1re)
  • Soudere
  • Tin-Hama (1re)
  • Kidal (1er)

Conflit des bérets verts et des bérets rouges

Conflit entre les islamistes et le MNLA

  • Tombouctou (1re)
  • Gao (1re)
  • Tagarangabotte
  • Indelimane (1re)
  • Ménaka (2e)
Intervention militaire au Mali
(Opération Serval, puis Opération Barkhane
MISMA, puis MINUSMA)


 
Données clés
Coordonnées 15° 01′ 00″ nord, 4° 14′ 00″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Mali
(Voir situation sur carte : Mali)
Combat de Dialloubé
Combat de Dialloubé
Géolocalisation sur la carte : Afrique
(Voir situation sur carte : Afrique)
Combat de Dialloubé
Combat de Dialloubé
Géolocalisation sur la carte : Monde
(Voir situation sur carte : Monde)
Combat de Dialloubé
Combat de Dialloubé

modifier Consultez la documentation du modèle

Le combat de Dialloubé a lieu le lors de la guerre du Mali.

Déroulement

Le , les troupes françaises de la force Barkhane et les forces maliennes mènent une opération contre un groupe de la katiba Macina repéré près de la ville de Dialloubé, dans le nord de la région de Mopti[2].

Dans la soirée, les Français font décoller à Niamey une patrouille de deux chasseurs Mirage 2000 qui, appuyés par un drone d'observation MQ-9 Reaper, effectuent une frappe aérienne[2],[1],[3]. L'armée malienne intervient ensuite au sol avec l'appui d'un hélicoptère et détruit deux petites bases[1].

Pertes

Selon l'armée française, une quinzaine de terroristes sont mis hors de combat[2]. Des sources militaires de RFI évoquent quant à elles une vingtaine de djihadistes « neutralisés »[1].

Références

  1. a b c d e f et g « Mali: une vingtaine de jihadistes neutralisés dans une opération franco-malienne », RFI,
  2. a b c et d « BARKHANE : Nouvelle opération contre un groupe armé terroriste », Ministère des Armées,
  3. Jeune Afrique avec AFP, « Mali : une quinzaine de jihadistes de la katiba Macina « mis hors de combat » par une frappe de Barkhane »,
v · m
Rébellion touarègue de 1990-1996
  • Ménaka
  • Tidaghmen
  • Tin Essako
  • Tarkint
  • Abeïbara
  • Tigharghâr
Rébellion touarègue de 2006
  • Kidal
Rébellion touarègue de 2007-2009
  • Tin Zaouatine
  • 1er Tezerzaït
  • Abeïbara
  • 2e Tezerzaït
  • Nampala
  • Toulousimine
Insurrection djihadiste en Mauritanie et au Mali (2005-2011)
Guerre du Mali (depuis 2012)
Coups d'État au Mali
Rébellion touarègue de 2012
Conflit entre les djihadistes et le MNLA (2012)
Opération Serval (2013-2014), opération Barkhane (2014-2022) et guérilla djihadiste
Affrontements communautaires (2013)
Conflit entre le MNLA et le MAA (2013)
Conflit entre le Mali et le MNLA (2013-2014)
Conflit entre la CMA et la Plateforme (2014-2017)
Conflit entre le Mali et la CMA (2015)
Conflit entre le Mali et la CMA (2023)
Massacres
Attentats
Insurrection djihadiste dans l'ouest du Niger (depuis 2009)
Combats
Massacres
Insurrection djihadiste au Burkina Faso (depuis 2015)
Combats
Massacres
Attentats
  • 1er Ouagadougou
  • 2e Ouagadougou
  • 3e Ouagadougou
Côte d'Ivoire (depuis 2016)
  • icône décorative Portail de l’histoire militaire
  • icône décorative Portail du Mali
  • icône décorative Portail des années 2010